Maxime Leroy et la coutume ouvrière
« Sans sommeil, le meurtre serait permanent. »
Georges Henein
« Sans sommeil, le meurtre serait permanent. »
Georges Henein
Maxime Leroy et la coutume ouvrière
– Présentation
– De la coutume ouvrière à l’autonomie de classe : l’effort syndicaliste (Gaël Cheptou)
– Merrheim et Griffuelhes (texte de Maxime Leroy) Recensions
– Variations sur la théologie libérale (Freddy Gomez) … à propos de L’Empire du (…)
Aux dires de ses connaissances, Maxime Leroy (1873-1957) fut homme de proverbiale modestie. Discret, il ne tira, de son œuvre – magistrale –, d’autre gloire que celle de s’y être consacré avec constance et minutie. Spécialiste de Sainte-Beuve, de Saint-Simon et de Proudhon – dont il travailla (…)
Maxime Leroy (1873-1957) est une figure atypique de ce qu’il est convenu d’appeler le « socialisme des juristes ».
Il n’est pas un de ces avocats opportunistes qui, avant de devenir des professionnels de la politique, ont su se faire un nom dans les prétoires en assurant, comme Alexandre (…)
Il m’est doux d’évoquer, dans cette revue où j’ai de si précieux amis, le souvenir de deux hommes que j’ai beaucoup connus, dont l’action et la pensée ont profondément retenti sur le syndicalisme : Victor Griffuelhes et Alphonse Merrheim. Deux hommes assez dissemblables d’aspect, pourtant (…)
■ Jean-Claude MICHÉA
L’EMPIRE DU MOINDRE MAL
Essai sur la civilisation libérale
Paris, Climats-Flammarion, 2007, 224 p.
De livre en livre, Jean-Claude Michéa tisse une œuvre critique de première importance. Sa cible : la théologie du Marché et du Droit s’incarnant dans le libéralisme. (…)